Lundi 29 décembre 1 29 /12 /Déc 11:46
j en etais genée mais quel plaisir !
Par jf fantasmant sur homme mur
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Samedi 20 décembre 6 20 /12 /Déc 17:38
Par jf fantasmant sur homme mur
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Samedi 20 décembre 6 20 /12 /Déc 13:22

Par jf fantasmant sur homme mur
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Samedi 20 décembre 6 20 /12 /Déc 12:49

J’aime les vieux ! Je ressens une attirance toute particulière pour les hommes plus âgés, voire nettement plus âgés, que moi. J’aime leur compagnie, un peu, mais j’adore surtout quand ils me baisent. Je m’appelle Sabrina et je suis née en 1986. Au moment où j’écris ces lignes, j’ai donc tout juste vingt ans. Ca fait déjà deux ans que je m’envoie en l’air avec de vieux bonshommes. Avant ma majorité, je me contentais de les allumer d’un simple regard ou en balançant ostensiblement mon cul sous leurs yeux. Je leurs souriais pour les exciter, habillé comme une grosse salope.

Quand je rentrais chez moi, je me branlais souvent en pensant à tel ou tel homme que j’avais chauffé en croisant les cuisses très hautes, assise à la terrasse d’un quelconque café. Je jouissais dans mon petit lit en songeant à l’effet que je faisais aux vieux obsédés amateurs de jeunes tendrons. Aujourd’hui, je ne suis plus dans le même registre et je peux me lâcher complètement depuis que je ne risque plus de problèmes avec la loi. Je m’en serai voulue de causer des ennuis à de si gentils vieux messieurs.

Dès que j’ai un moment de libre, je pars à la chasse au papy cochon. J’aime les hommes mûrs et même bien mûrs. Rares sont les quadragénaires qui m’intéressent. Je recherche plutôt des hommes de cinquante ou soixante ans, parfois même plus. C’est encore mieux quand ils sont chauves. Je trouve les crânes dégarnis formidablement excitants. En plus, les chauves sont souvent très actifs sexuellement, C’est quelque chose que j’ai vérifié en de maintes occasions. Il parait que la calvitie peut découler d’un excès de testostérone. Ceci explique sans doute cela. Quand je dis que j’aime les vieux, ne vous méprenez pas : il n’y a rien de vénal là-dedans. Certes, j’apprécie les petits cadeaux que mes amants me font à l’occasion, mais c’est avant tout pour le sexe que je les choisis. Je préfèrerai toujours avoir à faire à un papy très actif, expérimenté et fauché comme les blés qu’à un mec plus jeune mais plein aux as.

Généralement, quand je sors, je m’arrange pour être la plus excitante possible. J’ai des formes généreuses qu’il n’est pas très difficile de mettre en valeur par un accoutrement adéquat. Avec mon mètre soixante-seize et mes longues jambes, je ne passe pas inaperçue. Nombreux sont les hommes qui se retournent sur mon passage dans la rue. C’est encore plus vrai quand j’enfile ma tenue de salope préférée. En hiver, je porte une jupe très courte sur des collants à motifs qui moulent parfaitement mes cuisses légères et bien galbées. Mes pieds sont toujours chaussés de chaussures à hauts talons, je déteste les souliers plats qu’on vend aujourd’hui. Ainsi, je parais encore plus grande et élancée. Je me tiens droite et cela fait ressortir ma petite paire de nichons. Je n’ai pas une très grosse poitrine, mais mes seins sont fermes et bien ronds malgré tout. Sous mes vêtements, je porte très fréquemment de la lingerie fine, mais parfois, quand je veux jouer à la petite fille, j’enfile une simple culotte de coton et une brassière assortie. L’effet sur mes amants est assuré : ça les fait généralement bander comme des fous.

Mon premier papy cochon, je l’ai trouvé dans un salon de thé que je fréquentais avec des copines lycéennes. J’étais en première année de BTS à l’époque et je venais tout juste de fêter mes dix-huit ans la semaine précédente. Depuis, j’attendais avec impatience de passer à l’acte. J’avais déjà fait l’amour avec des types plus jeunes, des copains du bahut pour la plupart. J’étais relativement expérimentée mais je savais déjà que je ferai semblant d’être novice avec le tout premier vieux bonhomme que je me taperai. C’est exactement comme cela que ça s’est produit. La seule chose que je n’avais pas prévue, c’était que l’épisode le plus intense se déroulerait dans des toilettes publiques.

J’ai repéré le mec alors que je me trouvais à table avec mes amies. Nous étions en tout début d’après-midi et il n’y avait pas grand monde dans l’établissement. Nous avions une heure de libre avant de reprendre les cours. L’homme était assis à quelques mètres de nous, devant son café. Je lui ai fait comprendre que j’avais envie de lui en lançant de fréquents regards très explicites dans sa direction. Je me suis même passée la langue sur les lèvres pour l’aguicher. Cette fois-ci, je n’ai pas croisé mes jambes, mais je les ai écartées sous la table pour lui faire voir le tissu blanc de ma petite culotte. Une fois que j’ai estimé qu’il devait être assez chaud, je me suis levée pour me rendre aux W-C. En passant à côté de lui, j’ai effleuré sa chaise avec ma jupe à volants. Il me regardait, je lui ai fait un clin d’œil complice. Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps après avoir refermé la porte des toilettes derrière moi. Il est arrivé seulement quelques secondes plus tard. Je l’ai poussé dans le cabinet réservé aux handicapés. Il était plus vaste que les autres et nous risquions moins qu’ailleurs de nous y faire surprendre.

Je n’ai pas dit un mot à mon compagnon. Je me suis simplement assise sur la cuvette en remontant ma jupe sur mon ventre. Ainsi, il pouvait admirer tout à loisir mon slip de coton. J’ai mis ma main sur ma motte et je me suis touchée un peu, pour l’exciter encore un peu plus. Ensuite, j’ai tendu l’autre main vers son entrejambe et j’ai soupesé son appareil génital. L’homme devait bien avoir cinquante-cinq ans mais il faisait déjà preuve d’une grande vigueur. Le contraire eut été étonnant si l’on pense à la situation dans laquelle il se trouvait : seul dans les toilettes d’un salon de thé avec une jeune minette qui aurait presque pu être sa petite-fille et qui se caressait lentement devant lui. D’un geste, je l’ai invité à se rapprocher. J’ai pris l’initiative d’ouvrir sa braguette et de sortir sa queue de son pantalon et de son slip. Dès qu’elle s’est trouvée à l’air libre, j’ai commencé à la branler un peu. Mais ce que je voulais par-dessus tout, c’était la foutre dans ma bouche et la sucer. J’en rêvais depuis si longtemps.

L’homme a vite compris où je voulais en venir. Il a avancé son bassin brusquement et son gland déjà gros est venu buter contre mes lèvres. Je n’ai eu qu’à les ouvrir pour l’accueillir en moi. Je l’ai d’abord sucé avec la peau. Je faisais rouler les deux parties de ma mâchoire de droite à gauche et d’avant en arrière, en serrant un peu sur son bout. Puis, j’ai tiré sur son prépuce pour recouvrir son nœud, en mettant la tête en arrière. Je faisais semblant de ne pas savoir très bien comment m’y prendre, même si j’avais imaginé cet instant des dizaines ou peut-être même des centaines de fois dans ma tête en me masturbant. J’ai fini par le décalotter, quand mes lèvres ont été bien humides, mouillées par ma salive, mais aussi par le liquide au goût légèrement sucré qui s’épanchait de la bite du papy. J’ai fait rentrer sa pine bien au fond de ma bouche mais j’ai vite dû me reculer pour ne pas régurgiter. Du coup, j’ai décidé d’être plus prudente, moins empressée. Je me suis concentrée sur la pointe de la verge et j’ai fait travailler ma langue de jeune cochonne.

Je me touchais toujours entre les cuisses pendant ce temps. Mais le gars est venu poser ses doigts sur mon sexe. Il s’est mis à me frotter à travers ma culotte qui commençait à se mouiller. J’ai retiré ma main pour le laisser faire et je l’ai placée sous ses boules que j’ai caressées. Il me massait bien. Un peu plus tard, il a fourré un de ses gros doigts ridés sous mon slip, en passant par le trou de la jambe droite. Il a dû sentir ma fine touffe de poils mais ça ne l’a pas empêché de pousser jusqu’à ma fente. Il a fait aller et venir le bout de son doigt sur le sillon de mon petit abricot. Ce salaud cherchait mon clito. Quand il l’a eu trouvé, il s’est acharné dessus. Il n’a même pas cherché à entrer dans mon trou. Il faut dire que je réagissais bien à ses caresses. Je m’agitais sur la cuvette des toilettes à chaque fois qu’il me pinçait le bouton ou qu’il le faisait rouler sous son gros pouce. Il le branlait un peu comme il aurait tripoté une bite.

Quand j’ai senti qu’il était prêt à jouir sous les assauts de ma langue de plus en plus impudique, je me suis reculée. Je n’étais pas encore prête à avaler le foutre d’un inconnu. J’ai violemment abaissé sa verge vers les toilettes juste avant qu’elle ne se raidisse pour cracher son venin. Surpris, il a ôté sa main de ma chatte. Une fraction de seconde plus tard, son jus chaud est venu s’écraser sur ma culotte, à l’endroit exact de ma vulve, avant de dégouliner dans la cuvette. C’est finalement ça qui m’a fait jouir. J’ai eu un orgasme intense qui m’a laissée pantelante sur les W-C. Le vieux bonhomme s’est rajusté et m’a laissée là, toute seule. J’ai attendu de reprendre mes esprits avant de rejoindre mes camarades. Quand je suis passée près de la table qu’il occupait, le type pervers était déjà reparti.

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Samedi 20 décembre 6 20 /12 /Déc 12:41
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